Mon mentoring, c’est une modalité de communication
et un système d’échanges hors réseaux classiques.
L’accompagnement est ce qui, au travers de ma carrière de professeur, constitue la marque de mes enseignements. Cela m’a été évoqué comme une signature, celle qui a fait la spécificité d’une ambiance de classe, celle qui n’a pas laissé indifférent.
Par la suite, cette qualité, que je ne voyais pas comme une évidence et qui pourtant s’avérait être mon « truc » (D. Ducard, « L’histoire d’un truc », Linx, 74 | 2017), m’a conduite à étudier la pédagogie et plus spécifiquement la filiation intellectuelle dans laquelle s’insèrent des modalités de transmission qui réinvestissent les principes de la philosophie de l’accompagnement depuis l’orientation donnée à l’éducation.
L’acte de transmettre, en effet, implique une mise en mouvement vers autrui, invité à prendre part à l’échange que ce dernier induit. Or, grâce à la logique du principe de réciprocité qui régit la relation entre les différentes parties, la transmission peut avoir lieu. Il s’agit de celle, bien évidemment, qui sert de levier au développement des savoirs, des compétences et ainsi de la croissance globale de la personne.
Par conséquent, le mentoring, lorsqu’il est assimilé à « une philosophie d’accompagnement » (G. Szczyglak), est bien une ressource dont l’origine trouve son ancrage dans l’histoire des Humanités depuis Mentor, la figure mythologique grecque, ainsi prêtée à Aristote ou encore à Sénèque dans cette même filiation.
Pour autant, le mentoring, et en particulier le mien, se distingue par l’originalité de la forme que je lui donne. Entrelacs de l’art et du savoir, le tressage qu’il donne à voir prend une direction singulière, siège de multiples élans qui engagent l’étudiant, le salarié ou encore la personne séniore.
La valeur que porte mon mentoring est celle du « truc » pour lequel je suis faite, ce qui apparaît comme naturel et simple, ce qui fait que les gens m’accordent leur confiance pour les aider à relever des défis et à les guider dans leurs questionnements. Leur engagement, pour développer et acquérir de nouvelles compétences, favorise ainsi leur réussite, tant dans le cadre de la formation académique que dans celui de la formation humaine. Car la confiance en soi, l’estime de soi et la sécurité interne sont sans aucun doute des rouages incontournables dont il faut prendre soin pour développer les compétences propres aux « soft skills », considérés comme les facteurs clés du développement exponentiel de la croissance.
Ainsi, c’est au travers de mes offres de services, – dont ma méthode « Entre créativité et savoirs » -, que vous aurez accès à une formation inédite pour vous (re)mettre en quête de votre pouvoir, celui de la réflexion, celui de la liberté de savoir exprimer qui vous êtes, celui d’appeler votre authenticité.
Pour toutes ces raisons, l’acquisition de « soft skills » vous permettra d’être bien partout et en toutes circonstances, en plus de celle des compétences rédactionnelles que visent mes services.
Alors, mon mentoring s’adresse à vous tous, si vous avez plus de 16 ans et si :
- Vous êtes en conflit avec votre entourage ;
- Vous vous sentez bloqués sur le plan intellectuel ;
- Vous n’êtes pas à l’aise dans un groupe et donc en société ;
- Vous ne savez pas comment vous projeter dans votre futur ;
- Vous ne mettez pas de sens dans ce que vous entreprenez.
Non seulement vous découvrirez une nouvelle méthode d’étude mais surtout,
vous vous transformerez !
Et au terme de l’aventure, vous volerez de vos propres ailes…